L’excellent article, en anglais, The Path to Self-Sovereign Identity de Christopher Allen relate l’historique de l’identité numérique sur Internet. Comme l’avait fait en son temps Kim Cameron dans son article The Laws of Identity, Christopher Allen propose 10 principes définissant une identité autonome, contrôlée par l’utilisateur. En voici un résumé.
mercredi 7 septembre 2016
jeudi 1 septembre 2016
Utiliser une blockchain pour une monnaie locale complémentaire
Lors de la Blockfest 1.0, la Mairie de Paris a fait part de
son projet très intéressant d’une monnaie locale utilisant une blockchain. Voir
la vidéo https://bitcoin.fr/video-blockchain-et-monnaies-locales-complementaires/
Le principe est que l’on achète en euros de la monnaie
locale pour payer des services ou des produits locaux. A la différence du
bitcoin, une monnaie locale n’est pas spéculative et sa thésaurisation ne
présente aucun intérêt. La Mairie de Paris propose même qu’elle soit fondante c’est-à-dire
qu’elle perde de la valeur si on ne l’utilise pas. Cependant le professionnel
doit payer en euros des taxes, des charges patronales, etc.
La Mairie de Paris propose de construire un système
permettant de payer un bien ou un service en partie en monnaie locale, par
exemple la valeur hors taxe et le reste, la TVA en euros.
Cela me paraît complexe à mettre en œuvre et son
acceptabilité tant au niveau du consommateur que du marchand risque d’être très
faible.
Dans le cadre d’une monnaie locale, il y a un opérateur, avec un compte bancaire classique, auprès duquel on achète en euros des unités de
monnaie locale. Les seuls professionnels s’adresseraient à cet opérateur pour
convertir leurs unités de monnaie locale en euros et payer ainsi leurs charges.
Il faudrait distinguer le professionnel et le consommateur privé par le biais d’une
procédure d’enregistrement auprès de l’opérateur.
A suivre.
jeudi 5 mars 2015
Remonter des résultats de tests automatisés (Selenium) dans TestLink
Prendre en compte les tests automatisés et leurs résultats dans un outil de gestion de tests est essentiel. Ils doivent être tracés et comptabiliser, avec les tests manuels, dans le calcul des différents métriques. Grâce à son interface de communication XML-RPC, TestLink permet d’automatiser aussi la remontée des résultats des tests automatiques. Le code ci-après l’illustre avec un exemple de test utilisant Selenium. La version utilisée de TestLink est la 1.9.12.
TestLink et Bug Tracking
L’objectif du test logiciel étant de détecter des anomalies, un outil de gestion de tests va de pair avec un outil répertoriant les bugs. Le couplage entre les deux outils présente l’avantage de lier un (ou plusieurs) scénario de test permettant de reproduire le bogue. TestLink (version 1.9.12) peut s’associer simultanément avec plusieurs outils (un seul par projet tout de même), avec pour certains plusieurs interfaces possibles : Bugzilla, MantisBT, Jira, FogBugz, YouTrack, Redmine, Trac.
Cet article présente la configuration de TestLink pour intégrer un outil de Issue Tracking et ensuite comment répertorier un bogue lors de l'exécution d'un test.
Cet article présente la configuration de TestLink pour intégrer un outil de Issue Tracking et ensuite comment répertorier un bogue lors de l'exécution d'un test.
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